Herpès Labial ou Boutons de Fièvre
Herpès Labial ou Boutons de fièvre.
Peut signifier que :
- L’herpès labial est en lien direct avec nos prises de conscience.
- Nous nous interrogeons sur nous-mêmes et sur notre vie en général.
- Il existe un conflit entre notre identité propre et nos relations avec les autres.
- Nos boutons, appuyés de fièvre, sont l’extériorisation de ce conflit émotionnel. Notre corps cherche à s’en libérer.
- Mais au fond, qu’est-ce qui nous empêche de nous affirmer, de nous exprimer ?
– notre crainte d’être rejeté
– notre peur de ne pas être accepté
– notre peur de ne pas être aimé. - Nous nous sentons sanglés dans une situation psychique nous empêchant de nous étendre, nous épanouir. Cette situation engendre impatience et irritation car nous ne sommes pas nous-mêmes ou nous ne pouvons pas l’être.
- A chaque fois que nous souhaitons exprimer nos sentiments ou nos opinions personnelles :
– nous nous taisons
– nous nous freinons
– nous agissons avec retenue
– nous nous sentons coincés, comme garrottés. - Nous nous forçons souvent pour échapper à des choses qui nous accablent.
- Nous adressons des reproches aux personnes que nous estimons responsables de nous empêcher d’être nous-mêmes augmentant l’irritation grandissante qui nous habite.
- Cependant, nous sommes seuls responsables :
– de ce que nous vivons
– du « ralenti » dans notre vie que nous ressentons
– du fait de nous sentir petit
– de nous définir au travers de nos angoisses
– de vivre dans la tristesse. - Nous nous rendons bien compte que nous laissons notre vie être menée par une autorité extérieure (parents, conjoint…), et cela nous agace. Mais nous préférons refouler cette colère.
- Notre manque de confiance ne nous, nous amène à voir les choses de manière fragmentée, axée sur les détails, sans en avoir de vue d’ensemble car nous n’arrivons pas à rassembler les morceaux.
- Notre angoisse vient du fait que nous avons l’impression de ne pas avoir le contrôle sur nous-mêmes et que nous nous sentons trop dépendants.
Objectifs :
- Quand la peur du rejet apparaît dans notre vie, nous devons chercher la raison pour laquelle nous ne sommes pas en harmonie avec nous-mêmes.
- Notre entourage étant incapable de lire dans nos pensées, apprenons à exprimer distinctement nos préoccupations.
- Prenons conscience de notre nécessité d’être nous-mêmes en toutes circonstances. Acceptons-nous nous-mêmes comme nous acceptons les autres, dans l’harmonie et la compréhension.
- Exprimons-nous. Disons ce que nous ressentons. Osons être nous-mêmes. Nous serons alors fidèles à notre vraie nature, et le dialogue entre deux personnes pourra être rétabli, amenant aux deux individus évolution et développement.
- Ayons confiance en nous et ne laissons personne parler ou vivre à notre place, parce que nous sommes uniques.
- En nous libérant de notre manque de confiance en nous et en ce que nous ressentons, nous pourrons enfin laisser notre propre voix chanter et exprimer sa véritable identité. Ainsi nous bâtirons notre vie en étant notre propre autorité. Nous deviendrons alors un « bon parent » pour nous-mêmes.
- Quand nous nous sentirons prêts, nous saluerons définitivement les « maîtres » et leurs systèmes que nous suivions jusqu’alors, et où nous nous sentions confortables. Et ce, afin de suivre notre propre voie, la voie qui sera bonne pour nous, la voie qui suivra notre intuition et notre sagesse intérieure.
- En nous libérant, nous prendrons conscience du réservoir d’énergies, prêt à nous amener vers l’épanouissement.
Références :
- Christiane Beerlandt : « La clef vers l’autolibération ». Encyclopédie de la psychosomatique.
- Jacques Martel : « Le grand dictionnaire des malaises et des maladies ». Éditions Quintessence.